| SUCCESS SORRY | ||||
| Une exposition virtuelle basée sur des œuvres existantes. | ||||
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| Bonjour,
En cette fin d’hiver que je vous souhaite agréable, j’aimerais vous présenter ma seconde exposition virtuelle composée d’œuvres réelles physiquement existantes, conçues entre 2024 et 2025.
Les dessins si-dessous sont issus d’images en basse définition abandonnées, trouvées sur les trottoirs des réseaux sociaux lors d’interminables promenades, puis réinterprétées afin d’en redéfinir le potentiel narratif par addition, superposition, collage numérique puis réincarnation - la chair et le sang se transformant en encre de Chine et en papier. La raison pour laquelle j’ai choisi ces images est simple : elles s’apparentent par défaut à des balises éphémères portées par le flux d’une imagination partiellement domestiquée. Elles me sont apparues, comme les pièces incontournables du gigantesque puzzle constitué par mon obsession pour les histoires abstraites, lesquelles sont façonnées en temps réel, puis rapidement oubliées. Ces mensonges narratifs me permettent de trianguler une réalité revisitée, dans laquelle je peux m’inscrire clandestinement et flotter en toute sécurité onirique. |
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| His First Soundz (Mirror-Remix1) Encre de Chine sur papier artisanal - 140/150cm - 2025 |
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| His First Soundz (Mirror-Remix2) Encre de Chine sur papier artisanal - 140/150cm. 2025. |
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| His First Soundz (Mirror-Remix1&2) Encre de Chine sur papier artisanal - 140/150cm - 2025 |
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| Mr Robot Deleted Scene Encre de Chine sur papier Canson - 150/170cm - 2025. |
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| Dis Moi Oui. Encre de Chine sur papier Canson - 116/150cm - 2025. |
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| Nico Not Guilty. Encre de Chine sur papier Canson - 150/200cm - 2025. |
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| Lao Tseu Rabbit Encre de Chine sur papier Canson - 116/150cm - 2025 |
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| Chemische Romantik in mittlerer. Encre de Chine sur papier Canson - 150/200cm - 2025. |
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| VIDEO | ||||
A tremendous ordinary life (Une vie ordinaire & formidable). |
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| Vidéo couleur, stéréo, 19mn47 - 2025 | ||||
| https://youtu.be/dPfnWKy-lvs?si=Q4hZmfVy_rLxLQD5 | ||||
| PHOTOGRAPHIE | ||||
| WELCOME TO THE MACHINE | ||||
| Depuis 1988, j’ai toujours pratiqué la photographie sans m’en rendre compte, prenant des clichés mentaux, les rendant parfois à voir et à comprendre par le biais d’images réelles, en tirages papier. La photographie apparaissait toujours et pendant longtemps, comme une étape validante d’un processus créatif plus large, un passage narratif obligatoire. En août 2018, sur un ferry quittant le Pyrée pour Astypalea, j’ai senti ma conscience être littéralement absorbée par la cellule de mon téléphone, puis instantanément recrachée alors que je photographiais un lampadaire de facture industrielle, face à moi, sur un fond de mer apaisée. J’avais symboliquement été avalé par mon sujet, intégré à lui dans l’image qui découlait de mon acte et j’en étais le premier spectateur. L’hiver suivant, un séjour à Rome se transforma en marathon photographique intégralement relayé par mon compte Instagram, donnant lieu quelques mois plus tard à une exposition personnelle de tirages papiers dans un hôtel de luxe à Paris. En 2022, j’eus également le bonheur de présenter une quarantaine de photos tirés sur papier lors d’une exposition personnelle à Liège, basée sur ma production Instagram. Cette synergie entre Instagram et la photographie fait intégralement partie de mon travail. J’ai donc eu l’idée, il y a quelques mois, d’ouvrir compte « secret, ou plutôt privé » afin d’y publier un corpus d’images illustrant ma pratique journalière, pouvant être montrée ultérieurement comme une exposition en ligne, consultable uniquement via une URL. Cette « exposition photographique sur Instagram » ne représente rien d’autre qu’elle même en tant que « machine à fabriquer du présent », incluant très souvent des compostions numériques et des versions couleur et/ou n&b de la même image. À de rares exceptions près, l’ensemble des travaux a été réalisé avec un smartphone sous Androïd. |
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| https://www.instagram.com/myownpersonalmythology/ | ||||
| NOUVELLE | ||||
| L’homme qui possédait le monde | ||||
| Après être tombé dans marmite de l’Intelligence Artificielle où j’ai rapidement dû apprendre à nager au risque de ne plus jamais pouvoir en ressortir, j’ai ramené, au péril de ce qu’il reste de ma santé mentale : une expérience écrite, un témoignage, une cyber-rédaction rendant compte de mon voyage au pays de l’I.A, transformé en bibelot littéraire issu d’une rencontre imprévisible et cependant fort instructive autant que joyeuse, n’en déplaise aux braves gens honnêtes. | ||||
| L’homme qui possédait le monde | ||||
| ÉPILOGUE | ||||
| Et pour rester dans le monde des mots tout en se rassurant avec du vrai, de la pierre et du concret, j’aimerais vous offrir une dernière petite comptine, afin de vous quitter sur une note poétique, à prendre au second degrés bien entendu. | ||||
| L’HISTOIRE DE LA HOUSE. | ||||